C’était en 2014
Un personnage surprenant, atypique qui se promène dans les rues de la bastide, un balai à la main avec un message accroché dessus, un masque Anonymous à l’arrière de la tête. Ce personnage, c’est Caroline Bordcyk, ou encore Victorine Moqkeuz. «Je suis une écrivaine autoéditée. Si je me suis mise à l’écriture et à la publication c’est que, tombée en maladie, j’ai eu du temps pour occuper mes nuits blanches. l’écriture n’est pas ma béquille». Et si Caroline (ou Victorine) se déplace actuellement dans la ville, c’est pour proposer «deux ouvrages qui vont bientôt sortir. L’un fait de textes et de nouvelles «Allo la bougresse, quelles nouvelles ?» et un autre qui me tient à cœur, sur le patriarcat «Brame au-dessus d’un nid de cocottes», car je suis outrageusement féministe».
La Dépêche du Midi
Oui j’étais sortie avec un texte de mon cru : Abolissons les privilèges ! Soyons fous !J’ai beaucoup manifesté dans ma vie avec du monde ou peu de monde, alors manifester pour la promotion de mes livres, ce n’est pas un problème; de plus je ne compte pas m’arrêter là ! Affaire en mouvement !