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30 septembre 2018

Un retour sur mon roman d’anticipation : LE COMMERCE DES MOTS

Classé dans : Année 2018,Information,LE COMMERCE DES MOTS,RETOUR-AVIS DES LECTEURS — eructeuse @ 21 h 41 min

LE COMMERCE DES MOTS

 Le commerce des mots est une fiction intemporelle. C’est une fiction par la nature de son histoire qui est imaginaire mais intemporelle par le réalisme des situations qui y sont contées et des questions qu’elle soulève.

Je vous parlerais ni du noms des personnages ni des descriptions détaillées des différents lieux dans lesquels ils évoluent. L’appréciation de ces éléments dépendra des goûts de chaque lecteur. Mais j’aimerais par contre que l’on se penche sur les questions environnementales, sociales et économiques que cette histoire amène.

En effet dès les premières pages nous sommes mis face à une réalité extrêmement dérangeante. Je ne pense personnellement pas que l’on puisse lire Le Commerce des mots sans ressentir une profonde gène. Le lecteur est pris à témoin des différentes situations et ne peut que se demander « Et moi, qui serais-je dans cette même situation. » ou encore « Ah, je pense que j’aurais eu la même réaction que ce personnage ? » Ainsi dans cet imaginaire, la frontière entre le réel et l’irréel s’estompe. La rencontre entre l’irréel de la fiction et le réel du vécu du lecteur crée chez le lecteur un imaginaire. Un monde de questionnements qui continuera d’exister et de se développer dans son esprit même après qu’il aie tourné la dernière page de ce livre.

Cela nous renvoie à l’intemporalité de cette histoire. Ne serait-ce pas le but de toute lecture que de se questionner sur le sens des choses pendant et surtout après la lecture ?

 Dans ce récit il est question de l’impact de l’humanité sur la planète et de notre devenir.

Notre planète… ce possessif me dérange aujourd’hui, devrais-je plutôt dire : « Dans ce récit il est question de l’impact de la planète Terre sur ses êtres humains et leur devenir ».

Et je crois que c’est en cette remise en question que je viens de faire que résident tout le talent et la virtuosité d’écriture dont fait preuve l’auteur dans ce roman.

Nous ne sommes que les locataires de cette magnifique planète et nous devons apprendre à vivre en collocation avec les autres espèces et nos semblables. Il est de notre devoir d’apprendre à écouter les lois et le sens de cette nature qui nous loge, voilà le prix de notre loyer.

Une ode éducative, une éloge à la tolérance, une interpellation à notre conscience individuelle et collective de nous-même et de ce que la terre a à nous offrir et une remise en question de nos sociétés ; le tout dans une atmosphère alarmante et oppressante où l’amour est le maître mot.

BREHMER Emmanuel

25/07/2018

21 ans

Villeneuve-sur-Lot

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25 septembre 2018

Un retour sur mon roman : « Le roman de sa vie… Une infusion de T? »

J’ai lu plusieurs livres de Victoryne Mokqueuz alias Caroline Bordczyk avant d’ouvrir LE ROMAN DE SA VIE  » « Une infusion de T »" .

Là je me suis retrouvé comme je m’y attendais devant une écriture personnelle tracée par une personne de caractère et c’était le cas mais quelque chose de plus profond encore a vite retenu mon attention.
De tels événements, de telles confrontations pour les luttes de la vie, la rencontre de ces destins les uns menés par d’altruistes personnes, d’autres, produits par des ego étroits et bornés, ne peuvent pas être qu’imaginés, n’être que des personnages d’une auteure, même si l’on connaît la capacité de celle-ci en matière de créativité.

On a le sentiment d’être immergé dans quelque tragédie qui est vraiment arrivée, que ces personnages n’ont été inventé, ensuite, que pour apparaître dans un roman parce que c’était le seul lieu où pouvait être relatée leur histoire. Vies subissant de cruelles épreuves mais aussi vies remplies d’humanité, c’est une ligne constante chez l’auteure.

Poignant est le sentiment ressenti parce que, pas de superficialités, pas des personnages passe-temps justes utiles pour bricoler un roman, on est dans du réel, du vivant.

Ça sera la difficulté pour le lecteur, cette proximité avec la vie, la vraie, si celui-ci n’est pas prêt à vivre le livre, mais ce sera une belle récompense s’il le fait, car c’est un sentiment de partage intime, comme une lettre reçue d’une amie qui viendra clore cet écrit.

Donc toujours l’humanité aux rendez-vous de cette auteure, la ligne femme pour les choses de la vie (les femmes ont vraiment un autre talent que les hommes à ce sujet, les expériences du vécu donnent aux femmes une profondeur, une proximité réelle qui manquent si souvent aux hommes).


C’est réussi la magie opère et l’on peut partager, y vivre une communion de destin comme le secret d’une vie révélée.

Donc bravo encore une fois.

Texte de Joseph Toquec

Ma plus grande satisfaction est de voir que ce que je voulais dégager dans ce roman soit perçu !  Joseph, tu as cette capacité, cette analyse à voir ce que je voulais communiquer… Cela me procure bonheur et émotion ! Merci beaucoup ! Ton texte me touche énormément ! J’ai voulu narrer la dureté de la vie des femmes, de ce qui s’efface mais qui fut là, comme une confidence entre amies… On n’est pas dans l’étalement d’une chair abîmée mais dans un message intime avec le respect qui se doit face à des évènements qui nécessitent douceur et compréhension, respect aussi… Une porte s’ouvre sur le savoir de ces faits et la possibilité de comprendre et de saisir l’opportunité d’être compassionnel… humain !

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