Mes romans Caroline Bordczyk

29 novembre 2017

Mon huitème ouvrage

Classé dans : Information,MA COLLECTION : MES DIX ROMANS — eructeuse @ 5 h 40 min

vient de loin ! Mémé Gâteau et La Planète Orange, c’est un livre hommage que j’ai voulu rendre à tous ceux et celles qui ont été élèves ou vacanciers sur les chemins de l’écoute des histoires lues ou racontées… Pensez-donc ressortir une histoire vieille de 39 ans… Passe passe le temps, mes derniers élèves sont déjà majeurs, ils connaissent les dessinateurs de ce petit ouvrage,  publié en auto-édition. L’autoédition est un financement personnel, alors ça prend du temps mais il ne faut jamais désespérer de la Bordczyk, j’ai mis du temps à ressortir mon polar, c’est fait, celui-là est sorti enfin, écrits tous les deux en 2009 !

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MES HUIT OUVRAGES

Classé dans : Année 2017 — eructeuse @ 4 h 14 min

En ce mois de novembre, je vous présente mes huit créations

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Toutes disponibles chez moi à anelabougresse@orange.fr si telle est votre envie !

28 novembre 2017

Entre les gouttes d’eau

Classé dans : Année 2017 — eructeuse @ 16 h 59 min

Elle s’est frayée un chemin, elle venait  de si loin… notre chère « Mémé Gâteau et la Planète orange » !

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17 novembre 2017

Mémé Gâteau et la Planète Orange

Classé dans : Information,MA COLLECTION : MES DIX ROMANS — eructeuse @ 4 h 37 min

Il y a un projet pour mon petit livre ! Je vous en dirai plus bientôt…

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7 novembre 2017

Mémé Gâteau et la Planète Orange

Classé dans : Année 2017 — eructeuse @ 11 h 58 min

Il est arrivé mon dernier ouvrage, mon petit livre orange dont la première de couverture a été illustrée par Manu Brehmer (dessin réalisé en 2009 !)

Ce petit livre dans lequel je raconte  une histoire inventée il y a bien longtemps et qui a voyagé dans mes écoles, dans mes centres de loisirs…

Livre édité en hommage à tous mes élèves et enfants des centres de loisirs… des adultes maintenant voire des parents… Passe passe le temps…

Mon histoire écrite et lue pour la première fois en 2009 : Mémé Gâteau et la Planète Orange.

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1 novembre 2017

Rire sourire se faire plaisir

Classé dans : Information,MA COLLECTION : MES DIX ROMANS — eructeuse @ 8 h 23 min

En cette période d’envahissements de créatures hors du temps il faut bien que je sorte mon ogresse

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que vous pouvez me commander à caroline.bordczyk@outlook.fr pour l’instant !

31 octobre 2017

LE COMMERCE DES MOTS

Classé dans : Information,LE COMMERCE DES MOTS — eructeuse @ 5 h 39 min

édité en mars 2017

Remerciements

Je remercie Évelyne mon amie correctrice.

Je remercie pour la réalisation de la première et la quatrième de couverture mon fils aîné… L’œil aiguisé de mon petit-fils vint y poser aussi son avis… Mon roman transpire d’amour… jusqu’en son manteau !

L’image choisie en première de couverture est issue de Pixabay qui offre ses images gratuitement. Bel esprit des heures nobles d’internet… Merci.

Chers lecteurs et lectrices, je vous remercie de votre passage en mes mots.

L’amour est dans le cœur de mon histoire.

Hommage aux femmes de ma famille et aux femmes de la Terre, ces oubliées de l’histoire, qui ont nourri la mienne, à qui je voue tendresse et respect à travers cette fiction…

 

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Céline notre héroïne travaille pour l’éditeur Jean Charles Édouard De La Courriège qui tombe fou amoureux de Rose Elvire, rencontrée chez des VIP, une riche héritière qui s’est moquée durement de ses publications… L’histoire se déroule en 2035 et plonge en 36… Un petit passage sur JC comme le surnomme Céline :

Chapitre

 

IV

 

J C

 

Quelle mouche a piqué l’éditeur de Mourir d’Amour ? Ce roman qui a fait pleurer une majorité de femmes et a reçu le prix de la Féminité Encrée. Cette œuvre vendue en numérique à treize millions et six cent mille exemplaires à travers le monde dans les années 2020 qui a rivalisé et envoyé au tapis l’autre grande maison d’éditions, fleuron de la littérature sentimentale : A l’heure du thé.

Mourir d’Amour, un roman qui narre l’histoire d’une rencontre entre une pauvre pauvre pauvre belle belle très belle jeune fille, vierge, vendeuse de cigarettes à la sauvette dans le métro, tuberculeuse, souvent égarée sous des cartons, et d’un homme dans la force de l’âge, un homme particulièrement bon. Un veuf, riche, mais qui a souffert, et qui se perd dans la brume de ses Havane.

Jean Charles Édouard revient en salle de réunion avec un manuscrit à la main et vocifère, fier : « Vous êtes des idiotes des imbéciles, mesdames les responsables du marketing. Il était temps que je mette mon nez ici, pour vous parler du pays ! Les hommes et les femmes ne se rencontrent plus, le virtuel a remplacé le réel, tous ont peur des virus, les maladies infectieuses se sont multipliées, mon test du baiser sain s’est vendu tous les mois à dix millions d’exemplaires, (il a des actions dans les laboratoires qui les créent). Le partage n’existe pratiquement plus, chacun vit chez soi. Le taux de natalité frise le niveau zéro, Il faut s’adapter à cette réalité. Le prince charmant c’est le sex-toys et lui, une pile et ça repart ! Un coup de stérilisateur et pas de peur ! Faut renouveler vos gardes-mots mesdames ! Le moteur de l’évolution a changé de camp. Je veux vous entendre butiner de l’éros solitaire pour que nos lectrices ne culpabilisent pas de ce joli moment de réconfort qu’elles trouveront avec tous nos produits dérivés : du gel aux pétales de roses en passant par la location, d’un pianiste, (Jean Charles Édouard joint le geste à la parole*), ce serviteur zélé, courtois, assermenté, aseptisé ! Compris ! »

* Une horreur n’arrive jamais seule 

 

Pour sa bonne cause, Jean Charles Édouard a tout prévu. Il vient de créer sa Maison de la Fraternité qui loue pour une somme modique prélevée directement sur salaire, un professionnel homologué toujours frais, pour quelques heures de massages spécialisés… rien à voir avec un passe-massage sans hygiène ni agrément public.

« Je veux de la vie de la joie du sexe royal du sexe gourmand ! Je veux du sublime du régal de la jouissance épanouie qu’on lit jusque dans les yeux des héroïnes. Avec des mots simples bien ajustés à des émotions des sentiments qui donnent du rêve à nos lectrices près d’une RÉALITÉ POSSIBLE, accessible qu’elles trouveront avec NOS PRODUITS ! Il faut sortir la femme de son ghetto-moyenâgeux, avec doigté, finesse, lui faire découvrir qu’elle est une jouissive dont l’épanouissement n’est pas un luxe ! Cap sur les multiples plaisirs ! Changement de direction ! Du nerf que diable ! A vos plumes et à vos explorations* ! »

* L’autre horreur 

 

Il est clair que Jean Charles Édouard ne cherche ni à rompre les règles sociales ni les codes de quoi que se soit. Il s’adapte à la réalité du terrain, à ce qui se vend le mieux. Si demain le sexe faible devient le sexe fort, il ira dans ce sens. Ce n’est pas un souci pour lui. Ce qui est essentiel, c’est que sa fortune se maintienne au plus haut niveau.

Quoi quoi c’est sa liberté de penser ! Quant à celle des autres ce n’est pas son souci. Oui certes il n’y a pas beaucoup de choix sous les yeux des lectrices, mais bon il ne faut pas exagérer, il ne met pas un pistolet sur la tempe des acheteuses. Ses romans ne les lobotomisent pas. Il en a assez que la littérature sentimentale passe pour une sous culture pour névrosées, car il les nourrit ces lectrices, de cette belle liberté de rêver. Il remplit le sac à dos de la ménagère qui survit et peut rêver, par ses soins, dans un monde si hostile. Voilà son combat, qui oserait dire que ce n’est pas un noble combat ? 

Il pense à tout. Sauf que si ses collaboratrices sont trop timorées à son goût, c’est qu’elles vivent constamment dans la peur d’être licenciées alors… l’orgasme.

Ce jet de plaisir en lui-même ne nourrit pas plus la femme que l’homme, ce n’est pas pour rien que les aménorrhées ont refait surface comme aux temps des disettes des siècles tyranniques d’une histoire oubliée…

 « Qui soupire ? », tempête Jean Charles Édouard De La Courriège.  Il boit un grand verre d’eau et reprend le cours de sa diatribe tel un zébulon* en pleine exaltation, le manuscrit en l’air comme pour d’autres, le poing : « Plus de libération, de soumission, sortons du formatage idiot, la famille a explosé ! Et ras le bol de ces malades qui parlent du viol comme d’un sale moment à passer, presque d’un acte anodin, faut lire ça pour le croire, foutaises de chiottes ! Foutez-moi toutes ces imbécillités à la poubelle ! »

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27 octobre 2017

LE COMMERCE DES MOTS

Classé dans : Information,LE COMMERCE DES MOTS — eructeuse @ 5 h 13 min

Chapitre

II

Le camp

La voiture fonce dans le silence. Fred ne dit mot, Céline vagabonde :  « Ah oui j’ai bu les mots sans modération. Comment savoir le vrai du faux comment croire les mots de celui qui parle ? Écouter entendre comprendre, mais comment comprendre sans échanges comment savoir si on interprète correctement le message ? Lire est un champ de liberté ouvert, on est seul face à cet écrit, on prend ce qu’on veut, mais en fait, ne retient-on que ce qui nous arrange ? Apprendre des autres c’est si dur et comment faire sans avoir fait un travail sur soi, connaissance avec soi, de soi. »

 

Céline a passé ces cinq années à écrire et se demande ce qu’elle va faire de ses notes. Mais ses écrits dans sa cachette à la ferme sont-ils intacts ? Elle est pensive : « L’écrivain est-il le conteur de sa vie ? Les mots sont-ils les fruits d’une imagination débordante ? L’écrivain peint le monde avec les mots de la bibliothèque de sa vie. MOTS ! Ce qui est sûr c’est qu’ils sont comme Dieu, la propriété de personne, la propriété de tout le monde ! »

 

Elle cogite bouillonnante puis continue : « Les mots n’ont pas perdu leur sens, ce sont les hommes qui sont devenus fous, les mots ont toujours le même sens, la même définition, la liberté reste la liberté et les barreaux des barreaux. L’amour n’est pas la haine, et si les mots semblent vidés de leur sens c’est que les hommes ont vidé le sens de leur vie, naufragés perdus. L’idéologie détourne le sens des mots, l’idéologie est castratrice ! »

 

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Mon personnage s’interroge sur  ce qu’elle veut devenir : écrivain et dans cet espace là, elle sort de cinq ans de camp de rééducation… La prise de conscience politique est un cheminement personnel une liberté de soi en soi…qu’elle livre à son cousin…

23 octobre 2017

Atypique

Classé dans : Information,MA COLLECTION : MES DIX ROMANS — eructeuse @ 5 h 51 min

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Allo les docteurs : Bobo !

 

HOMOS, osmose … os…

 

 Ô nous, femmes, sommes souvent considérées comme des malades imaginaires. Nous écoutons trop notre corps. Trop ?

« Et on sait que les femmes et les enfants sont plus facilement la proie de leurs émotions »1 Bon on sait, si on sait…

La proie, je rirais si je n’avais les lèvres gercées !

Voilà le genre d’idée de la bien-pensance qui s’agite pour endormir nos consciences de Femelle. Le patriarcat n’a toujours pas rendu l’âme à l’aube du troisième millénaire.

Que voulez-vous, nous les femmes, sommes de grandes papoteuses et quand on parle et bien on écoute aussi… Ah les grandes soirées entre copines… Quand notre corps parle, il faut savoir l’écouter; cette voix profonde est aussi un chemin certain vers la plénitude sexuelle mais c’est une autre histoire qui n’a point sa place ici à cette heure !

En 1981, quelle belle année ! lors d’une visite impromptue à l’hôpital, parce que je ressentais des contractions à mon huitième mois de grossesse, je fus prise en charge par un jeune interne qui déclara après un monitoring, geste de savant, je pouffe :

«  Oui vous avez des contractions, mais celles-là, vous ne devriez pas les ressentir ! « 

 Damned je sentais, ressentais mon corps de femelle en gestation profond, profond. J’ai beaucoup aimé le « vous ne devriez  » ah la norme qui sécurise, le devoir !

Doux Jésus me voilà cataloguée atypique.

 Voguèrent les années sur une mer souvent agitée puis… Après mon arthroscopie du mois de décembre 2007, je me cogne le genou et comme un feu qui se déclenche, je sens la maison qui brûle, je consulte car mille et une douleurs viennent me snober la nuit, l’enfer s’installe sans invitation.

Encore faut-il me croire ?

Or donc, en janvier de cette année là, vingt-six ans plus tard, je raconte à mon médecin l’impression que je ressens, à savoir le réveil de toutes mes vieilles plaies d’antan : fractures, claquages, tendinites, coups (un jour je me suis cognée la cuisse contre la table à repasser, de quoi vous dégoûter du repassage à vie !) entorses dues à des entraînements sur des chemins tortueux ou sauts de gazelle de rocher en rocher, très, très mauvais pour les tendons. Il me dit : «  Des impressions ou des réalités ? »

Saperlipopette, j’impressionne, je ne délationne pas, je les vis et si ces sensations me semblent étranges, je ne fantasmagorise pas et ne somatise pas ! Bingo, les globules blancs et tout le saint-frusquin jouent à la Castafiore !

Voilà des manifestations physiques quantitatives bien réelles, mais une autre réalité me démange et pas que le poignet :

Il y a des révoltes qu’il faut crier au delà des

encriers !

1Passions et destins des passions p.17 André Green

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Journal de bord écrit et publié en novembre 2008

Encore disponible chez votre atypique : caroline.bordczyk@outlook.fr

 

22 octobre 2017

Irrévéren…chieuse ! C’est grave docteur ?

Classé dans : Information,MA COLLECTION : MES DIX ROMANS — eructeuse @ 8 h 06 min

Un tiot passage pour la route de ce dimanche

TOUJOURS LE SAMEDI PREMIER

 

OH OH JOLI MOIS DE MARS

QUE VAS-TU METTRE

DANS MON PITIT PANIER D’OSIER ?

 

J’ai décidé d’écrire ce journal pour mon plaisir, suis amoureuse des mots, même dans le dico, je les savoure, une vraie chienne. Pas de garde, mais en garde. Genre Zorrotte de gôche (j’ai retrouvé mon « z »).

 

Décomplexée la nana ! Tant qu’à faire… L’amour des livres est une très longue histoire… L’amour des hommes aussi… Mais je ne vous dis pas tout !

 

 HUIT HEURES

 

 Ah l’amour, les passions…

 

GRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

 

Après le déni de démocratie le 4 février de cette année : jour de ma fêête mais non, pas sainte cloche, j’apprends que dame Cécilia va se marier le 22, je vous l’avais bien dit :  » J’suis maudite « .

 

J’AIME

 

J’ai longtemps puisé mon énergie dans le bonheur d’être avec les enfants. Depuis mes 15 ans, j’encadrais des centres de loisirs sans hébergement et m’impliquais chez les Francas… J’ai fait mon dernier centre de loisirs en 1992, dix ans de directions… Pas toujours facile mais ce fut réellement du bonheur.

 

L’enseignement un vrai parcours de combattant et du bonheur aussi assurément : je parle de bosser avec les enfants bien sûr et avec des collègues ne quittant pas le bateau à 17h pétantes, ne fuyant pas toutes réunions hors temps scolaire; sans vous parler de ces enseignantes refusant de décloisonner ! Sujet tabou !!!

 

Et de travailler avec les parents : nos partenaires, oui, je peux dire sans hypocrisie aucune, ni démagogie que vous aussi, Parents, m’avez donné beaucoup de bonheur… et des amies.

 

Quant aux Atsem, le personnel municipal travaillant en étroite relation avec les enseignantes, on a dit travailler pas rendre esclave, certaines des amies pour la vie, il y en a un paquet à remercier : mesdames Klein, Josette, Claudine, Jeannine, Danièle, Josette une autre, Christine, Patricia, Sylvie, Dédé, Lisette, Christine, Martine ! CLAUDINE !

Je sais que je vais en oublier, Catherine, Safia, Jeannine une autre, Martine et Patricia, Chantal, Maguy des perles indispensables, des femmes exceptionnellement professionnelles, qui devraient avoir un autre statut, ne pas faire de ménage, être reconnues comme aide-éducatrice puisqu’elles passent le CAP petite enfance.

Elles sont payées avec un lance-pierre… Sont où les syndicats ? Quand il s’agit des femmes, les mecs des syndicats s’en brossent le gland ! Rien que pour les retraites qui a parlé des femmes et des mi-temps? Oui, oui certains, si peu ! Rien que pour ce déni de démocratie il y aurait dû avoir grève générale !!

 

Ah Fillon t’es vraiment un nobleu !

 

Faut se prendre par la main tout le temps et partout.

 

RETOUR A LA CASE ENSEIGNEMENT

 

Donc, je disais, nous ne sommes pas les salariés du monde du travail les plus mal logés; mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.

 

Pour les revendications salariales voir la presse syndicale !

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